Ilsera attentif aux différentes postures, à l'émergence des premières coordinations et à la construction des modes de communication. Par ailleurs lorsqu'une pathologie aura été diagnostiquée, une prise en charge précoce pour être envisagée dans l'attente d'une place dans une structure pluridisciplinaire spécifique (souvent un CAMSP). Sivous consultez un psychomotricien, votre médecin en est probablement l’initiateur. Vous vous demandez peut-être à quoi sert la psychomotricité. Découvrez dans ce guide toutes les explications concernant cette discipline thérapeutique classée dans les médecines douces. 06/2021. 3min. Santé. Consulter un psychologue: détails, prix et Votregénéraliste, si vous en éprouvez le besoin, vous adressera une ordonnance qui sera importante pour le remboursement de votre consultation. S’il est conventionné secteur 1 et que le parcours de soins coordonnés a été respecté, l’Assurance Maladie rembourse 70% sur la base du tarif conventionnel (30 €). Qui rembourse l’ORL ? JulieROLLANDIN, psychomotricienne diplômée d’état de l’Institut Supérieur de Rééducation de Marseille. J’ai d’abord exercé ma profession au sein d’un centre de rééducation pluridisciplinaire auprès d’une population adulte souffrant d’affection Ilfaut aller vite pour empiler les bons disques ! Dobble: il faut être le premier à trouver le seul et unique symbole identique entre les 2 cartes présentées ! Un jeu qui permet de développer le sens de l’observation et la concentration et la discrimination visuelle. Les sardines: un jeu d’observation vraiment original qui fait Pourquoiconsulter un psychomotricien ? Un psychomotricien est un assistant médical. Il considère le patient dans sa globalité, en tenant compte de ses dimensions psychologique, affective, physiologique et motrice. Du nourrisson à la personne âgée, la psychomotricité a pour mission d’aider le patient à retrouver l’harmonie et le Quandconsulter un psychomotricien ? Le psychomotricien prend en charge les difficultés sensorielles, motrices, émotionnelles, relationnelles et comportementales. Il s’adresse à tous, de la naissance au troisième âge. Quelles sont les indications d’un suivi psychomoteur ? Indications pour les bébés de 0 à 2,5 ans. Indications pour Fautil une ordonnance pour prendre du viagra 4.4 out of 5 based on 77 ratings. Tranny intercolonizing an syntonous ‘Acheter le vrai viagra’ informity regarding an expositional low-rise; glycerolise had acheter du vrai générique 50mg 100mg Pourcommencer il ne faut pas grand chose, si ce n’est une table spécialisée qui facilite la pratique pour le masseur et le massé. Il existe des tables à tous les prix, à partir d’une 50aine d’euros. Nous vous conseillons toutefois de consulter ce guide pour choisir une table de Fautil une ordonnance du médecin pour consulter ? Non, une ordonnance n’est pas nécessaire. La prise de rendez-vous se fait donc directement à l’initiative des parents, parfois sur conseil de l’enseignant ou d’un professionnel médical (médecin traitant , pédiatre, neuropsychologue, orthophoniste, orthoptiste, psychomotricien, ergothérapeute, etc.) ApJK3vI. Il n’est jamais facile pour un professionnel de santé en général et pour un kiné libéral en particulier de refuser des soins à un patient. Pourtant, ce refus s’impose dans certaines situations bien particulières. Mais dans quelles conditions ce refus peut-il être considéré comme légitimes et quelles sont, au contraire, les situations interdisant au kiné libéral de refuser les soins ? Le kiné libéral est-il obligé d’accepter tous les soins et tous les patients ? Lorsqu’un kiné libéral s’installe, il cherche en priorité à se constituer une patientèle suffisante pour pouvoir développer son activité. Pourtant, la question du refus de soins » doit être pensée dès l’installation, afin de s’assurer de réagir en suivant les règles légales lorsque le cas se présentera. En évoquant le refus de soins, il s’agit de s’interroger sur La possibilité pour le kiné libéral d’accepter ou de refuser un patient, qui vient le consulter La procédure à suivre pour mettre fin à la relation avec un patient. Si les règles légales, en la matière, sont claires, elles ont besoin d’être précisées. Les contraintes pesant sur les kinés libéraux sont similaires, dans leur plus grande partie, à celles encadrant l’activité des autres professionnels de santé, qu’ils exercent en milieu hospitalier ou sous une forme libérale. Le Code de la Santé Publique CSP stipule dans son article R4321-92 La continuité des soins aux patients doit être assurée. Hors le cas d’urgence et celui où il manquerait à ses devoirs d’humanité, le masseur-kinésithérapeute a le droit de refuser ses soins pour des raisons professionnelles ou personnelles. S’il se dégage de sa mission, il en avertit alors le patient et transmet au masseur-kinésithérapeute désigné par celui-ci les informations utiles à la poursuite des soins. » La déontologie comme cadre pour l’activité du kiné libéral et de tous les professionnels de santé Le kiné libéral, comme tous les professionnels de santé, ne peut donc pas refuser des soins à un patient, quel que soit son mode d’exercice, sans respecter Le caractère d’urgence des soins La garantie de la continuité des soins celle-ci doit toujours être assurée en toute circonstance En cas d’urgence, le kiné libéral et plus généralement tous les professionnels de santé ne peut jamais refuser les soins. Il n’existe pas d’exception à cette règle de base du Code de la Santé Publique. En revanche, en respectant ces règles de santé publique, il pourra refuser des soins pour des raisons professionnelles ou personnelles ». Ces termes sont assez génériques, pour rendre la compréhension difficile à chaque praticien. Ces raisons, que le kiné libéral, peut évoquer, peuvent ainsi répondre à un grand nombre de situations. Et il n’est pas toujours aisé de distinguer les refus légitimes de ceux qualifiés d’illégaux. C’est volontairement, que le législateur n’a pas défini précisément les motifs jugés comme légitimes, même si la jurisprudence mais aussi les codes de déontologie des différents ordres professionnels se sont chargés depuis de préciser les refus de soins légitimes de ceux qui ne l’étaient pas. Le refus de soins, une décision du kiné libéral à prendre en conscience Tout refus de soins justifié par une discrimination est considéré comme illicite. La discrimination constitue non seulement un motif légitime pour remettre en cause la décision du kiné libéral au vu du Code de la Santé Publique, mais elle représente, aux termes de l’article 225-1 du code Pénal, un délit passible de sanctions. Toutes les discriminations sont concernées et un kiné libéral ne pourra donc pas refuser des soins à des patients en raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de leur patronyme, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation sexuelle, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ». Même si elle n’est pas citée par les textes de loi, la discrimination sociale basée sur le niveau de vie est aussi une condition illégale pour justifier un refus de soins. De la même façon, un kiné libéral ne pourra pas refuser des soins au prétexte des protections complémentaires, dont bénéficie le patient. Un bénéficiaire de la CMU ne pourra pas être rejeté par le professionnel de santé sous ce prétexte. Si la question semble être simple en théorie, elle soulève bien d’autres problématiques lorsque l’on rentre dans le détail de l’activité des kinés libéraux et des autres professionnels de santé. Cette difficulté à dresser un état des lieux précis a conduit les autorités publiques à instituer une commission chargée d’évaluer les pratiques de refus de soins auprès de chaque Conseil de l’Ordre des professions concernées décret du 21 juillet 2016. Dans quelles situations le kiné libéral peut-il refuser des soins ? On peut alors se demander dans quelles situations précises, le kiné libéral peut se prévaloir de ces raisons professionnelles ou personnelles. En tant que professionnel de santé, le kiné libéral pourra légitimement refuser la prise en charge d’un patient, s’il estime que les soins prodigués font peser un risque sur la santé de ce dernier, ou encore s’il n’est pas compétent pour des soins spécialisés. D’autre part, si le kiné libéral ne peut pas, au regard de son emploi du temps, honorer d’autres prises de rendez-vous, alors le refus de soins pourra être considéré comme légitime, sous réserve que les soins n’engagent pas l’application du caractère d’urgence. Mais en matière de refus de soins comme dans le cas où un kiné libéral veut mettre fin à la relation l’unissant à un patient, la question de la perte de confiance » se pose. Constitue-t-elle un motif légitime au regard des textes déjà cités. Une dégradation des relations entre un kiné libéral et son patient rend en effet difficile la poursuite des soins. Il pourra s’agir d’une agressivité du patient vis-à-vis de son kiné, ou alors d’une procédure civile ou pénale initiée par l’une ou l’autre des parties. Le climat de confiance, indispensable aux soins du kiné libéral, s’en trouve alors dégradé, rendant impossible la poursuite des soins. Le kiné libéral doit alors informer précisément son patient de sa décision d’arrêter les soins. Il relève de la responsabilité du kiné libéral de diriger le patient vers un autre masseur kinésithérapeute, afin de favoriser la continuité des soins. Si ces motifs sont considérés comme légitimes, certaines situations ne sont pas sans poser des problèmes d’interprétation. Ainsi, si un kiné libéral effectue des visites au domicile de ses patients, peut-il refuser d’honorer certaines demandes au prétexte que les patients concernés résident dans des quartiers, où l’insécurité est grande. Le motif pourrait être considéré comme légitime, mais certains souligneront qu’il s’agit aussi d’une forme indirecte de discrimination. En l’espèce, chaque cas est unique, et il appartiendra au kiné libéral de justifier sa décision. Il n’existe donc pas de règles simples et applicables stricto sensu en ce qui concerne le refus de soins. La décision relève bien, dans tous les cas, de la responsabilité morale et éthique du kiné libéral. En revanche, quelle que soit la situation, le kiné libéral ou le professionnel de santé concerné devra s’efforcer de tout faire pour trouver une solution acceptable pour le patient. Il pourra s’agir de trouver un confrère ou une consœur, disponible pour prodiguer les soins nécessaires ou d’orienter le patient vers une structure plus adaptée à ses besoins. Et vous, avez-vous déjà été confronté à des situations difficiles en matière de refus de soins ? Comment avez-vous géré la situation ? Quels conseils pourriez-vous donner ? Vérifié le 31 mars 2021 - Direction de l'information légale et administrative Premier ministreLe remboursement des consultations médicales pour un enfant de moins de 16 ans obéit à des règles spécifiques. Selon que le médecin consulté est un généraliste, un pédiatre ou un spécialiste, le montant et le remboursement de la consultation est d'un médecin généraliste tarif, base de remboursement, montant rembourséGénéraliste consultéÂge de l'enfantTarifBase du remboursementMontant rembourséSecteur 1Moins de 6 ans30 €30 €21 €De 6 à 16 ans25 €25 €17,50 €Consultation complexe titleContent46 €46 €32,20 €Consultation très complexe titleContent60 €60 €42 €Adhérant au contrat d'accès aux soins titleContentMoins de 6 ansHonoraires avec dépassements maîtrisés30 €21 €De 6 à 16 ans25 €17,50 €Secteur 2Moins de 6 ansHonoraires libres30 €21 €De 6 à 16 ans25 €17,50 €À noter les consultations obligatoires 8e jour, 9e et 24e mois et la 1ère consultation d'une jeune fille de 15 à 18 ans souhaitant obtenir une contraception sont au tarif de 46 € et remboursées à 100 %.Consultation d'un pédiatre tarif, base de remboursement, montant rembourséMédecin consultéÂge de l'enfantTarifBase du remboursementMontant rembourséPédiatre secteur 1Moins de 6 ans32 €32 €22,40 €De 6 à 16 ans28 €28 €19,60 €Consultation complexe titleContent46 €46 €32,20 €Consultation très complexe titleContent60 €60 €42 €Pédiatre adhérant au contrat d'accès aux soins titleContentMoins de 6 ansHonoraires avec dépassements maîtrisés32 €22,40 €De 6 à 16 ans28 €19,60 €Pédiatre secteur 2Moins de 2 ansHonoraires libres28 €19,60 €De 2 à 16 ans23 €16,10 €Consultation d'un spécialiste tarif, base de remboursement, montant rembourséMédecin consultéTarifBase du remboursementMontant rembourséSpécialiste secteur 128 €28 €19,60 €Spécialiste adhérant au contrat d'accès aux soins titleContentHonoraires avec dépassements maîtrisés28 €19,60 €Spécialiste secteur 2Honoraires libres23 €16,10 €Psychiatre, neuropsychiatre, neurologue secteur 143,70 €43,70 €30,59 €Psychiatre neuropsychiatre, neurologue adhérant au contrat d'accès aux soins titleContentHonoraires avec dépassements maîtrisés43,70 €30,59 €Psychiatre, neuropsychiatre, neurologue secteur 2Honoraires libres37 €25,90 €Cardiologue secteur 149 €49 €34,30 €Cardiologue adhérant au contrat d'accès aux soins titleContentHonoraires avec dépassements maîtrisés49 €34,30 €Cardiologue secteur 2Honoraires libres45,73 €32,01 €À noter dans certains cas, la consultation peut être remboursée à 100 % du tarif conventionnel par exemple, enfant suivi pour une affection de longue durée.Qui peut m'aider ?Trouvez les acteurs qui peuvent répondre à vos questions dans votre régionCette page vous a-t-elle été utile ? Les parents vont souvent consulter un neuropsychologue dans le cadre de difficultés scolaires ou psychoaffectives que présente leur enfant. L'examen neuropsychologique permet d'apporter un éclairage sur le fonctionnement cognitif et émotionnel de l'enfant. Il permet d’identifier les forces et faiblesses de l'enfant dans le but d'établir un diagnostic précis de ses compétences cognitives dans son environnement. L’évaluation neuropsychologique est une démarche réflexive permettant l'évaluation des fonctions prises en charge par le cerveau telles que le langage, les praxies gestuelles & schéma corporel, les capacités visuo-perceptives & gnosies, la mémoire, l'attention, ou encore la perception & représentations des émotions en relation avec le développement global de l'enfant développement moteur, socialle et affectif ainsi qu'avec son cheminement scolaire et les difficultés rencontrées à l'école ou encore lors des activités de la vie quotidienne. L'état psycho-affectif de l'enfant peut aussi être évalué dans le but de faire ressortir et d'estimer l'anxiété, le stress, la tristesse ou encore l'estime de soi. La mise en relation de l'ensemble des données recueillies permet d'établir un diagnostic neuropsychologique. Le bilan neuropsychologique Le bilan neuropsychologique est constitué d’un ensemble d’épreuves étalonnées les tests permettant d’approcher au mieux le fonctionnement cognitif de l’enfant en fonction de son âge et de ses difficultés. La conduite du bilan et le choix des épreuves réalisées va dépendre de la demande qui a motivé l’évaluation, de l’anamnèse développementale de même que de l’observation de l’enfant tout au long de l’entrevue. Le bilan neuropsychologique donne lieu à la fois à une analyse quantitative afin d’évaluer la sévérité des troubles, s’il y a, en comparaison à des normes et aussi à une analyse qualitative permettant d’analyser les stratégies mises en place par l’enfant. C’est la mise en relation de l’ensemble des éléments recueillis au cours du bilan qui permettent d’aboutir à un diagnostic différentiel et des recommandations d’intervention et prise en charge thérapeutiques et éducatives . Favoriser les potentialités de l'enfant De cette façon, l’examen neuropsychologique permet d'appréhender au plus près les difficultés de l'enfant afin de mettre en place un plan d'accompagnement visant à aider parents, rééducateurs orthophoniste, psychomotricien, ergothérapeute et équipe scolaire dans leurs interventions en tenant compte des limites et des capacités de l'enfant afin d'accroître le bien être de l'enfant. Ainsi, l'examen neuropsychologique ne se limite pas uniquement à coller une étiquette diagnostic à l'enfant. Le diagnostic neuropsychologique est le premier pas vers la mise en place d'interventations ciblées afin d'aider l'enfant et d'accompagner sa famlille dans son quotidien avec l'enfant et également dans leurs démarches. Il constitue de ce fait un élément central à toute prise en charge rééducative. Il permet d’aider les parents et les enseignants à mieux comprendre les difficultés de l’enfant et de changer le regard qui est porté sur ce dernier, contribuant ainsi à assurer un bon développement affectif de l’enfant. Guider les interventions Le bilan neuropsychologique permet ainsi d'établir un plan d’actions pour aider l'enfant et définir des axes de remédiation adaptés. Il permet de proposer des aménagements ou adaptations favorisant une meilleure prise en compte des potentialités et des difficultés dans les apprentissages et les activités quotidiennes. Il sert de socle pour élaborer les axes et objectifs de la rééducation pluridisciplinaire, de guider les enseignants dans la mise en place d’un projet éducatif personnalisé et adapté à la fois aux difficultés de l’enfant et des stratégies de compensation mises en place recommandations spécifiques à la mise en place et à l’évaluation des aménagements pédagogiques. Il permet également de suivre l’évolution des troubles bilan de suivi et de participer activement à l'ajustement des démarches thérapeutiques et pédagogiques coordination des suivis mis en place en fonction de l’évolution des difficultés et des orientations établies. Enfin, il peut déboucher sur différentes prises en charge, conjointes ou non, telles que des séances de remédiation cognitive attention, mémoire de travail, stratégie d'apprentissage, des séances de gestion émotionnelle individuelles ou en petir groupe, ou encore une prise en charge psychologique. Neuropsychologue c'est quoi ? La neuropsychologie de l'enfant appelée encore neuropsychologie pédiatrique ou neuropsychologie développementale est une spécialité de la psychologie qui s'intéesse aux dysfonctionnements cognitifs et émotionnels en relation avec le développement cérébrale. Le neuropsychologue de l'enfant a acquis au cours de sa formation universitaire de Master, un enseignement théorique psychologie cognitive, neuroanotomie, développement cérébrale, troubles du développement et pathologies neuropédiatriques, etc.. et pratique stages hospitalier. A l'instar de ce qui est pratiqué en Amérique du Nord, certains neuropsychologues sont en plus titulaire d'un doctorat en psychologie PhD et d'une expérience de recherche postdoctorale. Le neuropsychologue pédiatrique connaît ainsi particulièrement bien le fonctionnement cérébral, les changements qui s’opèrent dans le cerveau et comment ceux-ci peuvent altérer le fonctionnement d’un jeune dans ses apprentissages ou ses comportements. Le neuropsychologue est donc habileté à évaluer tous les aspects du fonctionnement cognitif capacités intellectuelles, langage, raisonnement, mémoire, attention-concentration, motricité, lecture-écriture-calcul….Il dresse un portrait global et complet de l’enfant en cherchant à comprendre le lien entre le cerveau et les apprentissages et/ou le comportement. Sa formation initiale en psychologie et dans le développement psychoaffectif de l'enfant, lui permettent aussi de prendre en considération dans son analyse clinique la dimension psychoaffective. Pourquoi un examen neuropsychologique ? Une évaluation neuropsychologique peut être demandée par un médecin pédiatre, neuropédiatre, pédopsychiatre, ou encore un médecin généraliste, un professionnel de la santé orthophoniste, psychomotricien, ergothérapeute par exemple, ou encore par un enseignant. La demande de bilan neuropsychologique ou de silmple consultation neuropsychologique ne nécessite pas obligatoirement une ordonnance médicale et ce dernier peut être également initiée à la simple demande des parents. Plusieurs situations peuvent motiver un bilan neuropsychologique chez l’enfant. Les parents vont souvent s'orienter vers une consultation en neuropsychologie en raison des difficultés scolaires et/ou comportementales de leur enfant. Dans ce contexte, l'évaluation est souvent suggérée par l'enseignant, l'orthophoniste ou encore le médecin de famille. Par exemple, il peut être demandé par l'orthophoniste suivant l'enfant dans le cadre d’un retard dans le développement du langage oral ou encore par une psychomotricienne ou ergothérapeute dans un contexte de difficultés au niveau du graphisme et/ou de la gestion de l’espace. Dans ces différents contextes, l'évaluation neuropsychologique est demandée afin de préciser l’origine du dysfonctionnement *perceptif, attentionnel, mnésique ou émotionnel ou encore retard global de développement* et de préciser le diagnostic fonctionnel ; c'est-à-dire de préciser les relations existantes entre les différentes difficultés observées. De même, des difficultés persistantes dans les apprentissages ou un décalage notable dans les performances attendues, en lecture, orthographe, calcul, ou encore dans l’acquisition des connaissances générales peuvent également amener les enseignants à recommander à la famille de consulter un neuropsychologue de l’enfant. Par ailleurs, une consultation neuropsychologique peut également être envisagée dans le cadre de difficultés dans les interactions avec l’enseignant et/ou les camarades afin de mieux comprendre les comportements qui peuvent interférer sur le quotidien de l'enfant et de sa famille. Un bilan neuropsychologique est par ailleurs systématiquement réalisé dans un contexte de pathologies neuropédiatriques telles que les épilepsies de l'enfant, les pathologies métaboliques, les traumatismes crâniens, ...Dans ce cas l'évaluation neuropsychologique a entre autre spour objectif de spécifier l'impact de la maladie sur le développement cognitif et émotionnel de l'enfant ou encore d'évaluer l'incidence des traitements notamment dans le contexte des épilepsies infantiles. Enfin, un bilan dans le suivi des enfants prématurés ou encore dans la recherche d'une déficience cognitive dans le contexte des maladies génétiques de l'enfant par exemple syndrome de l'X fragile, .... Spécificité du bilan L'examen neuropsychologique de l'enfant se distingue de l'examen psychologique au sens habituel du terme dans le sens où il ne s'attarde pas uniquement à mettre en relation les conflits internes de l'enfant avec son vécu et la problématique familiale. Cependant, s'il ne se focalise pas sur la dynamique psychique de l'enfant l'examen neuropsychologique s'attarde à mettre en relation les données cognitives issues du bilan au sein d’un environnement donné en intégrant les aspects relationnels et socio-affectifs de la personne. L'évaluation neuropsychologique diffère également des évaluations psychologiques conduites dans le cadre scolaire par un psychologue de l'éducation. Les examens réalisés dans le cadre de l'école sont le plus souvent réalisés dans le but d'évaluer les compétences de l'enfant et de les mettre en relation avec les performances scolaires. Le plus souvent ces évaluations comprennent une échelle d'intelligence de l'enfant associée à une épreuve projective test de Rorschach. Le plus souvent, elles ne sont pas analysées selon un cadre théorique neuropsychologique et ne permettent pas d'avancer en faveur ou non d'un trouble des apprentissages ou encore d'un autre diagnostic. Elles constituent cependant une première étape importante et permettent le plus souvent d'aider les parents et l'élève et de les orienter vers une prise en charge spécialisée. L'examen neuropsychologique ne se résume pas à une simple évaluation psychométrique de l'intelligence échelle d'intelligence de l'enfant de Wechsler même si ces échelles composites du développement des compétences de l'enfant sont réalisées dans le cadre de l'examen neuropsychologique. Leur utilisation dans le cadre de l'examen neuropsychologique permet outre de calculer *l'efficience intellectuelle* globale de l'enfant appelée Quotient Intellectuel d'appréhender les compétences de l'enfant en fonction de son âge et d'orienter l'évaluation neuropsychologique. Enfin, l'examen neuropédiatrique quant à lui se distingue de l'évaluation neuropsychologique par le fait qu'il met principalement l'accent sur l'examen des fonctions motrices et sensorielles la force musculaire, réflexes ostéotendineux, sensibilité au touché, coordination, oculomotricité & attention conjointe, discrimination auditive et la recherche d'indices cliniques pouvant orienter le neuropédiatre vers une cause médicale. De plus, à travers l'entretien avec les parents et l'observation de l'enfant au cours de la consultation le médecin recueille également des informations sur le langage, la compréhension, les interactions avec les autres, le comportement socio-affectif de l'enfant. A partir de l'ensemble, le médecin peut demander aux parents de réaliser des évaluations complémentaires orthophonique, neuropsychologique, psychologique afin d'étayer son diagnostic. Déroulement du bilan Un bilan neuropsychologique se déroule en plusieurs étapes. Les étapes successives du bilan sont les mêmes quel que soit le motif du bilan. En revanche, la durée du bilan varie d'une part selon les objectifs du bilan bilan diagnostic, bilan de suivi, compléments de bilan et d'autre part selon l'âge et la vitesse de l'enfant. 1. Une entrevue préalable appelée entretien d'anamnèse au cours de laquelle le neuropsychologue discute avec l'enfant et le parent présent afin d'établir l'objectif de l'évaluation. Cette rencontre est souvent complétée par des questionnaires à remplir par la famille et parfois par l'école. Le but est de retracer, à l'aide des éléments scolaires, médicaux, familiaux, les difficultés de l'enfant. Pour ce premier rendez-vous, il vous est demandé de venir avec 1 ou 2 cahiers de votre enfant, les bulletins scolaires, et enfin les rapports des autres professionnels et bilans antérieurs s'il y a lieu. La première rencontre peut se poursuivre sur la réalisation de quelques épreuves afin de mettre en confiance l'enfant et lui montrer par l'exemple comment va se dérouler le bilan. 2. Séances d'évaluation le bilan de durée variable selon l'âge de l'enfant et le motif du bilan. Par exemple, dans le cas d'un bilan attention, il est important de réaliser au moins une séance longue afin de placer l'enfant dans des conditions proches à celles de l'école. Au cours des séances, différentes épreuves d'évaluation du fonctionnement cognitif sont réalisées selon le rythme de l'enfant et en prenant le temps de l'écoute. L'ensemble des tests utilisés sont des tests standardisés et similaires à ceux utilisés au sein des centres hospitaliers de références.. 3. Un temps de cotation et d'analyse de l'ensemble des données recueilies. Les données obtenues sont ainsi mises en relation avec les difficultés évoquées par la famille et l'enfant, ainsi que les rapports des autres professionnels afin d'établir un diagnostic neuropsychologique détaillé et les recommandations adéquates. Cette étape importante d'analyse et de synthèse prend du temps et ne peut être réalisée en présence de l'enfant et de la famille. 4. La restitution orale. Lors de ce rendez-vous, le temps nécessaire est pris pour expliciter à la famille et à l'enfant le diagnostic neuropsychologique établi ainsi que pour présenter les aménagements et prises en charge envisagés. Il s'agit d'un temps d'échange important d'échange et d'écoute important pour la famille. Si besoin un autre rendez-vous est proposé pour échanger seul avec la famille ou l'enfant. 5. Le compte rendu écrit. Un rapport écrit est communiqué à la fin du bilan. Le compte rendu est remis après la restitutiuon orale ou dans les jours qui suivent. Ce dernier comprend, outre l'la présentation et l'analyse des épreuves réalisées les résultats aux tests, un diagnostic neuropsychologique ainsi que, si nécessaire, un ensemble de prises en charge et de mesure d'accompagnement du patient. Le compte rendu répond à une exigence double d'une part il répond à une demande en termes de fonctionnement cognitif et comportemental de l'enfant, et d'autre part, il apporte, à un moment donné, une synthèse, un éclairage sur le fonctionnement de l'enfant ainsi qu'uen réflexion globale sur la prise en charge de l'enfant et de son suivi. Enfin, il s'agit d'un document soumis au secret médical et il ne peut être transmis à un tiers sans l'accord préalable de la famille. Comment préparer mon enfant Emmener son enfant chez un psychologue est souvent source d'inquiétudes notamment lorsque l'on s'y rend dans le but de réaliser une "évaluation neuropsychologique". Naturellement, différentes question jaillissent "Cette évaluation ne va-t-elle pas mettre mon enfant en difficulté, en échec ? le stresser ? Va-t-il vouloir se prêter au jeu de l'évaluation ? Ce test est-il adapté à mon enfant ?.La plus grande partie de l'évaluation s'effectue sous forme d'activités variées que les enfants prennent souvent plaisir à réaliser; Les tests sont par ailleurs adaptés aux âges et aux compétences de l'enfant. Nous évaluons les capacités de l'enfant en tenant coptre de ses particularités. Nous nous engageons à offrir un cadre agréable et rassurant à l'évaluation et prenons le temps nécessaire à la réalisation du bilan. Lorsque les enfants rencontrent des difficultés à réaliser une activité, ils sont bien sûr encouragés et valorisés sur leurs efforts et le coût que cela peut représenter pour eux. L'évaluation est aussi un espace de rencontre avec le psychologue - neuropsychologue pour en parler avec le neuropsychologue. La situation d'échange privilégiée établie au cours de l'évaluation offre aussi parfois un cadre à l'enfant pour aborder d'autres difficultés. Comment présenter l'évaluation à mon enfant Il n'y a bien sur pas une seule manière de présenter les choses. Vous pouvez expliquer à votre enfant que des spécialistes des monsieurs, des dames existent pour les difficultés qu'ils rencontre et que ces personnes ont l'habitude de rencontrer de nombreux enfants qjui présentent des diffiucltés comme eux ou un poeu différentes des leurs. Vous pouvez expliquer à votre enfant que le travail de ces spécialistrs consisgte à déterminer ce qui est difficile et ce qui l'est moins pour les aider à mettre en place des stratégies pour avancer à leur rythme. Que faut-il apporter ? Il est bien sur important que votre enfant ait passé une bonne nuit de sommeil et soit reposé avant de démarrer une sénace d'évaluation. Si cela n'estpas le cas il important de le signaler afin d'adapter voir de reporter si nécessaire la séance. Lors du premier rendez-vous de consultation neuropsychologique. Les éléments indiqués ci-dessous ainsi que touit autres éléments que vous souhaitez nous communiquer Lunettes de vue Cahiers scolaires de l'enfant de l'année en cours Si demande réalisé sur les conseils de l'école, courrier de l'enseignant/équipe pédagoq-gique sur le comportement scoalire de l'enfant. Ordonnance médecin prescripteur s'il y a médecin traitant, pédiatres, autres * Comptes rendus autres professionnels s'il y a Bilan neuropsychologique et/ou psychométriques

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